Les meilleurs choses de la vie, ne sont pas a vendre.

mercredi 1 mai 2013

MUGUET PORTE BONHEUR



Le brin de muguet est une tradition le 1er mai. Egalement appelé lys des vallées, cette plante originaire du Japon est présente en Europe depuis le Moyen-âge. En France, le muguet est essentiellement cultivé dans les régions de Nantes et Bordeaux. La plante à clochette symbolise le printemps, elle est idéale pour fêter le retour du beau temps car sa floraison coïncide avec les premiers rayons de soleil. Les Celtes accordaient à la « fleur du printemps » des vertus porte-bonheur. Afin de pousser la tradition plus loin, le brin de muguet à 13 clochettes favorise tout particulièrement le destin de la personne à qui il est offert.
Un saisonnier cueille le muguet,près de Nantes, à Saint-Julien de Concelles.

Un véritable symbole d’amour

Durant la Renaissance, la coutume était d’offrir dans les campagnes, une branche d’une plante afin de chasser la malédiction de l’hiver. En 1561, le roi Charles IX, en visite à la Drôme, a reçu un brin de muguet en guise de porte-bonheur. C’est à partir de cette date que la tradition est née : il décida d’en offrir chaque année aux dames de la cour.
 
 
La journée du 1er Mai, de nombreuses personnes sont aperçues portant un brin de muguet sur la boutonnière de leur veste. Cela remonte aux « bals des muguets », organisés pour les jeunes gens, les parents n’ayant pas le droit d’être présents. Durant ces bals, les jeunes filles étaient vêtues de blancs et les jeunes hommes fleurissaient leur boutonnières d’un brin de muguet. Depuis cette coutume, le muguet est devenu le symbole des rencontres amoureuses.


LaDépêche.fr

E.V.

dimanche 14 avril 2013

CLAUDE NOUGARO



Claude Nougaro, né le 9 septembre 1929 à Toulouse et mort le 4 mars 2004 à Paris, est un poète et auteur-compositeur-interprète français. Grand amateur de jazz, de musique latine et africaine, jouant des mots avec la langue française, il s'est appliqué tout au long de sa carrière dans un insolite mariage des genres, à unir chanson française et rythmes. Parallèlement à ses activités de chanteur, Claude Nougaro s'est essayé également à la peinture et au dessin

Jeunesse et formation
Fils de Pierre Nougaro, chanteur d'opéra, et de Liette Tellini, professeur de piano italienne (et premier prix de piano au conservatoire), Claude Nougaro naît à Toulouse le 9 septembre 1929, près du boulevard d’Arcole. Il est élevé par ses grands-parents paternels dans le quartier des Minimes. Son grand-père Alexandre, planton au Capitole, et sa grand-mère Cécile, sage-femme, chantent tous les deux dans une chorale. À douze ans, il écoute Glenn Miller, Édith Piaf, Bessie Smith et Louis Armstrong sur la TSF qui, entre autres, l'inspire à suivre cette voie. En 1947, il échoue au baccalauréat, et débute alors à Paris dans le journalisme (en écrivant pour divers journaux, dont Le Journal des Curistes à Vichy et L'Écho d'Alger). En parallèle, il écrit des chansons pour Marcel Amont (Le Barbier de Séville, Le Balayeur du roi) et Philippe Clay (Joseph, La Sentinelle). Il rencontre sur place Georges Brassens, qui devient son ami et son mentor, et il écrit de la poésie romantique et aussi humoristique. Il fait son service militaire en 1949, à Rabat, au Maroc.

Carrière
Il envoie des textes à Marguerite Monnot, compositrice d'Édith Piaf, qui les met en musique (Méphisto, Le Sentier de la guerre). Il commence à chanter pour gagner sa vie en 1959 dans un cabaret parisien, le Lapin Agile, à Montmartre.
En 1958, il décide de chanter ses propres textes, avec un premier album sorti chez Président, écrit et enregistré avec son partenaire d'écriture Michel Legrand. Le succès ne se manifestera néanmoins qu'en 1962, début des années Philips : Une Petite Fille et Cécile ma fille[ (dédiée à sa fille, née en 1962 de sa femme Sylvie, rencontrée au Lapin Agile). Ces chansons le firent immédiatement connaître du grand public, bien qu'il ait déjà commencé à percer en participant aux concerts de Dalida. En ce début d'années 1960, il introduit de nouveaux rythmes dans la chanson française et compose de nombreuses chansons, inspirées de thèmes et rythmes de jazz qui séduisent le public : Les mains d'une femme dans la farine, Les petits bruns et les grands blonds, Le cinéma, Chanson pour Marilyn... Il poursuit sa collaboration avec Michel Legrand (Le Cinéma et Les Don Juan) et écrit également avec le compositeur Jacques Datin (Cécile Ma Fille et Une Petite Fille). Ses chansons Je Suis Sous ou, plus tard, Tu verras font référence à l'alcool.
Un accident de voiture l'immobilise plusieurs mois en 1963. L'année suivante, il part en voyage au Brésil. Au retour, il se produit dans des salles prestigieuses : l'Olympia, le Palais, le Théâtre de la Ville à Paris. Son fils Pablo naîtra d'une union avec une Brésilienne.
La mort de son ami Jacques Audiberti en 1965 lui fait écrire un hommage en chanson, Chanson pour le maçon[. C'est à cette époque qu'il entame durablement sa collaboration avec le pianiste de jazz Maurice Vander, qui deviendra son principal partenaire musical (arrangeur, pianiste et co-compositeur). Il surnomme Maurice Vander « Le Coq », et c'est en référence à ce pianiste qu'il écrit et chante, plus tard Le Coq et la Pendule. Outre Vander et Legrand, Nougaro saura s'entourer de la fine fleur nationale (Eddy Louiss, René Nan, Pierre Michelot, Michel Colombier, Michel Portal, Aldo Romano, Didier Lockwood, Michel Gaudry, Bernard Lubat, Richard Galliano, Jean-Claude Vannier, André Ceccarelli...) et internationale (Ornette Coleman sur Gloria, Marcus Miller, Trilok Gurtu, ...).
Bien qu'il soit farouchement opposé à la politique, les évènements de Mai 68 lui inspirent un torrentiel Paris Mai, plaidoyer pour la vie, qui sera interdit d'antenne. Il enregistre la même année son premier album live à l'Olympia : Une soirée avec Claude Nougaro.
Sa chanson Toulouse est un vibrant hommage à sa ville natale, Toulouse.

Sa carrière se poursuit alors de façon régulière, ponctuée de succès : le Jazz et la Java (s'inspirant d'un thème de Three to Get Ready), Tu verras (adaptation française de O que será de Chico Buarque de Holanda), l'Île de Ré, Armstrong ou Petit Taureau. En 1971, il retrouve Michel Legrand pour la bande originale du film La Décharge / La Ville Bidon du réalisateur Jacques Baratier, ami d'Audiberti. En ces années 1970, il collabore également avec le compositeur-arrangeur Jean-Claude Vannier (Un Grain De Folie, Dansez Sur Moi, Plume d'Ange, Insomnie...).
Il quitte Philips pour Barclay en 1975. Après un album jugé décevant au niveau des résultats (Bleu Blanc Blues) en 1985, sa maison de disques ne renouvelle pas son contrat. Il y fait d'ailleurs une allusion dans sa chanson "Mon disque d'été". Il décide de vendre sa maison de l'avenue Junot à Montmartre et part alors pour New York, en quête d'inspiration, écrit et enregistre sur place un disque financé par WEA, sous la direction de Philippe Saisse, musicien réputé là-bas, et dont le producteur exécutif est Mick Lanaro, un vieux complice : c'est Nougayork, dont le succès retentissant fut une surprise ironique.
Il est récompensé en 1988 par les Victoires de la musique du meilleur album et du meilleur artiste, et de 1993 à 1997, il sort trois nouveaux albums.
Sa santé se dégrade à partir de 1995, année où il subit une opération du cœur. En 2003, il ne peut se produire au Festival du Verbe à Toulouse en raison de son état de santé. De 1998 à 2004, il se consacre plus à des concerts et des festivals. Il participe également à l'album Sol en cirque du collectif Sol En Si.
En 2002 il se produit dans toute la France avec un spectacle parlé, où il reprend plusieurs de ses textes (dont Victor et Plume d'ange) sans musique. Son interprétation fait l'objet d'un DVD : Les fables de ma fontaine.
En 2003 et 2004 il prépare un album pour le label jazz Blue Note Records. Le disque intitulé La note bleue sortira à titre posthume le 30 novembre 2004

Décès
Après avoir subi de nouvelles interventions chirurgicales en début d'année, il meurt le 4 mars 2004, à 74 ans.
Ses obsèques ont été célébrées à Toulouse, en la basilique Saint-Sernin, dont le carillon joua à l'occasion les notes de la chanson Toulouse. Ses cendres ont été dispersées dans la Garonne Un jardin municipal, un collège ainsi qu'une station du métro portent aujourd'hui son nom. Une salle de concert du quartier des Sept-Deniers s'appelle aussi « Salle Nougaro »[. Le 25 janvier 2011 a eu lieu l'inauguration de l'esplanade Claude Nougaro en plein centre de Toulouse.

Inspirations

Amateur de jazz, Claude Nougaro met des paroles sur des musiques de Charles Mingus, Thelonious Monk, Wayne Shorter, Louis Armstrong, Dave Brubeck, Sonny Rollins, Neal Hefti, Nat Adderley... Il s'inspire également de rythmes brésiliens et chante Antônio Carlos Jobim, Gilberto Gil, Baden Powell de Aquino, Chico Buarque. C'est aussi un amoureux de la chanson française

(wikipedia)
E.V.

vendredi 18 janvier 2013

Je recommande ce film: La guerre est declarée

Bon week-end
Alexandra


vendredi 11 janvier 2013

MICHEL OCELOT



Michel Ocelot, né en 1943, est un réalisateur français qui s’illustre dans le cinéma


Biographie

Né à Villefranche-sur-Mer, sur la Côte d’Azur, il a vécu son enfance en Guinée, son adolescence à Angers, avant de s'installer à Paris.

Il étudie d’abord aux Beaux-Arts de Rouen, puis aux Arts-décoratifs à Paris et enfin au California Institute of the Arts.

Il s’intéresse d’abord au cinéma d’animation en amateur, en réalisant pendant ses vacances, avec un groupe d’amis, différents courts métrages, où chaque personne utilisait les techniques qu’elle désirait. Cela a donné, selon ses mots, des créations très variées, avec des techniques très simples. Il a pour sa part utilisé du papier découpé, technique qu’il réutilisa plus tard lors de la réalisation de la série Ciné Si (Princes et Princesses). Il est très attaché à essayer de faire les choses le plus simplement possible.

En 1976, il réalise la série Les Aventures de Gédéon (d’après Benjamin Rabier), puis son premier court métrage produit professionnellement, Les Trois Inventeurs est produit en 1979  (qui produit également Jacques Rouxel, le réalisateur des Shadoks). Il reçoit la même année un prix au BAFTA, pour ce film, à Londres. Il reçoit en 1983 le César du meilleur court-métrage d’animation pour La Légende du pauvre bossu.

Il est le réalisateur de la série télévisée Ciné Si (La Fabrique, 1989), qui inspire en 2000 la sortie au cinéma du programme Princes et Princesses en ombres chinoises, réalisé en papiers découpés
Il réalise également des longs métrages : Kirikou et la Sorcière (1998), Kirikou et les Bêtes sauvages (en coréalisation avec Bénédicte Galup, 2005) et Azur et Asmar (2006).

 



Pour célébrer la « Journée mondiale du cinéma d’animation », Michel Ocelot a notamment participé le 28 octobre 2003 à une journée spéciale sur les technique de l’animation, au Forum des images, à Paris, en clôture de la « Fête du cinéma d’animation ». Il y a fait la démonstration de la simplicité de ses techniques en direct.

Michel Ocelot est très sensible aux œuvres du cinéma d’animation russe, chez lequel il a des amis, comme Nina Chorina. Celle-ci lui a d’ailleurs fait cadeau du chien qui a été utilisé dans Le Caniche, film mêlant décors et objets en papiers découpés et peints, mais aussi marionnettes articulées (comme le chien).

Il a présidé l’Association internationale du film d’animation (ASIFA), de 1994 à 2000.

En 2007, Michel Ocelot réalise pour Björk le clip de Earth Intruders, premier single issu de son album Volta. Il y reprend les inspirations des thèmes traditionnels de l’Afrique de l’Ouest, comme dans les deux films Kirikou.

Le Prix Henri-Langlois Film d’animation et de l’image animée lui est décerné en 2011 pour l’ensemble de son œuvre.
(WIKIPEDIA)

E.V.

mardi 1 janvier 2013

Este Año he superado mi problemas con el Alcohol y las Drogas y no me ha quedado ninguna secuela. Por eso, quería desearos una Feliz Semana Santa y un Gran 1984. No me acuerdo muy bien de vosotros pero creo que me caéis bien, porque os tengo en mi agenda... Feliz verano y viva san Fermín.
Feliç Any 2013
Rosa